« sweet dream in my nightmare...» free

Membre. · **Membre.** Solitaire.

« – hey poupée qu’est-ce que tu fais là seule ?
– tu cherches d’la compagnie ?
– tout ce que je cherche,

, c’est la solitude.

– mais ouais… tu resteras bien avec nous !
– t’as pas le choix de toute façon.
– j’aime pas qu’on me donne des ordres et lorsque je resterai avec vous, ce sera pour enterrer vos cadavres sanglants. maintenant dégagez ou je vous tue. »

Membre. · **Membre.** Chef de la Foudre.

Silence, puis bruit.

(...)

- Bonjour. Desole de vous avoir derangez. Je m'en fais si vous voulez.

Membre. · **Membre.** Solitaire.

Savana le fixa, une expression qu'on aurait déchiffrée comme étonnée, surprise, mais ses yeux beaucoup trop vifs trahissaient ses vrais pensées, et elle n'était absolument pas surprise. Elle savait que le chat appartenait au clan de la Foudre, elle n'avait pas même besoin de le sentir car pour elle, il empestait à des kilomètres. Et il ne "sentait" pas que l'odeur de son Clan il sentait aussi le sang, sa patte en était maculée, il avait dû se blesser, visiblement il n'était pas très malin.
Elle ne dit rien, ne fit rien à part peut-être continuer à l'observer. Il était grand, mais fluet, taillé pour la vitesse plus que pour la force sans aucun doute. Ses yeux brillaient d'une lueur inquiète mais intelligente, comme si des vies étaient en jeu à cause de lui, comme si il se tourmentait sans cesse. Puis la réponse vint tout naturellement à Savana, car en plus de tout cela, il adoptait une conduite majestueuse, quoiqu'un peu autoritaire. Elle savait que dans chacun de ces Clans, il y avait un meneur, un chef, ce chat-là devait sûrement être... comment le nommait-on déjà? Etoile du Vent. Savana était elle-même surprise, rien qu'à l'idée de s'être souvenue du nom en fait.
Aucune expression ne trahit ses pensées, tandis qu'elle fixa la blessure du meneur. Puis finalement, contre son gré, parce qu'elle avait aussi pitié du matou elle fit d'une voix très basse, qui ressemblait davantage à un murmure furtif, un souffle sauvage, qu'à une vrai phrase, mais c'était pour cela qu'elle était envoûtante, parce qu'elle était mystérieuse, libre, insaisissable:

« – tu dois soigner ta blessure, elle risquerait de s'infecter sinon. »

Une simple phrase, pronnoncée d'une manière si étrange, que chaque chat réagissait différament. Le meneur pouvait partir, ou rester, mais s'il restait de marbre alors c'était qu'il était comme elle, mais différent à sa façon. Tout le monde était unique, même si des chats se ressemblaient.
Savana, elle, n'avait pas besoin d'être une autre qu'elle-même, juste pour être acceptée par les autres, elle n'allait pas changer pour se faire accepter des autres. Rejetée, elle était "heureuse" parce qu'elle était tout simplement, elle, et si les autres n'étaient pas assez intelligent pour comprendre qui elle était et ce qu'elle voulait, c'était dommage pour eux, mais Savana ne les enviait quand même pas. Leurs vies n'étaient qu'un long fleuve tranquille, elle, ce qu'elle voulait, c'était une vie captivante, fascinante, et solitaire. Enfin, la seule présence qu'elle désirait à ses côtés, c'était celle d'Eclpise, son frère, c'était un tueur? Et alors? Savana aussi avait tué, pour sa vie, mais elle avait néanmoins tué. Pas comme ces chats venus de la forêt qu'elle n'aimait pas...
Savana ne jugeait jamais à l'apparence d'un chat, ni aux premiers coups d'oeil, elle faisait mieux, rapidement certes, mais sa capacité à cerner qui était vraiment un chat était troublante, il lui suffisait juste d'observer les chats pour les comprendre, les aimer, les détester. Tous ce qu'ils ressentaient, elle le voyait. Et un faible sourire nacquit lorsqu'elle s'arracha de son observation du meneur, sans nul doute, c'était quelqu'un de bien et Savana ne voulait pas tout savoir de lui, il lui fallait conserver une sorte de mystère, car lorsqu'on est déjà cerné, totalement, on n'a plus aucun intérêt pour l'autre. Et le mystère, Savana était la plus forte, la seule qui l'avait conservé. Certains chats, qui étaient désormais très peu nombreux, connaissaient son histoire, mais, ils n'iraient pas, pour autant, aller jusqu'à la dévoiler car Savana était dangereuse, mais Eclipse aussi. Alors, imaginez le duo qu'ils formeraient s'ils le voulaient!
S'arrachant difficilement à ses pensées, elle fixa son regard d'un vert émeraude, comme les feuilles d'une forêt en plein été, sur le matou qui se tenait devant elle. Puis brusquement, elle se souvint qu'il lui avait demandé s'il pouvait rester. Elle fit un geste indifférent de la queue, s'il voulait rester, qu'il reste. De toute façon, cette endroit ne lui appartenait pas.
Savana se leva, et son regard dériva vers l'horizon, à qui elle sourit sans retenue, la journée promettait d'être plus interressante que prévu s'il restait. Alors, tout naturellement elle fit:

« – reste Etoile du Vent. J'ai beaucoup entendu parler de toi. »

Elle se retourna vers lui et se rassit, tout autres chats auraient été infinimment qu'elle daigne lui accorder de lui parler, mais visiblement pas lui puisqu'il ne la connaissait pas. Peut-être avait-il entendu parler d'elle puisque sa renomée était connue de tous, enfin des solitaires, mais s'il n'avait pas entendu parler d'elle, il saurait qui elle était. Et ne serait sans doute pas prêt de l'oublier, car on n'oubliait pas Savana. Jamais.
C'est comme oublier un murmure sauvage d'une puissance infinie et mortelle. Impossible.

Membre. · **Membre.** Chef de la Foudre.

Interessant . <<

Ouf ! Rien de mieux que de savoir qu'on peut rester quand on a mal a l'oreille. Le sang coulait et la femelle avait bien raison, il fallait que je me soigne avant qu'elle s'infecte. Je lechais ma patte pour la passer pres de mon oreille pour la nettoyer. Je regardais l'endroit et tous les recoins des aletnours ou nous etions et je trouvis dans un coin des toiles d'araignees. Je partis les ramasser avec ma patte et les mirent delicatement sur le derriere de mon oreille blesse. La douleur continuait mais je ne voulais rien faire, de plus que je ne pouvais rien faire. Je soupirais, avoir un oreille qui saigne, c'est la derniere chose que j'avais besoin pour rentrer dans mon camp sans me faire remarquer par les curieux de leur genre. J'observais la femelle qui se trouvait devant moi et bien en y regardant, elle m'etait familiere. Peut-etre l'avais-je deja vu quelque par das les parages a roder puisque celle-ci sentait beaucoup l'odeur des choses qui n'etaient certainement pas l'odeur d'un des Quatre Clans. Elle devait etre une chatte errante qui voulait se promener dans l'eglise juste comme ca pour se trouver un abrite de la bruit, je voulais venir ici pour avoir du silence et on avait l'impression que celle-ci voulait la meme chose. Mais ceux qui m'iquietait le plus etait que cette chatte avait dit qu'elle avait beaucoup entendu parler de moi . Je suis connu en tant que chef du clan de la Foudre mais beaucoup semblait etre plus que seulement ce petit savoir. Que savait-elle sur moi ? Plus que ce petit detail. Je ne voulais pas savoir pourquoi elle voulait que je reste et puis j'aimais le suspence, sa donnait un peu plus d'imagination a l'histoire et de la peur dont personne n'aimerait franchir. Mais moi, je m'interessais beaucoup a la vie de la femelle. Elle semblait etre quelqu'un de different des autres, plus mature et modeste. Mais qui sait, les apparences peuvent etre trompeuses, une citation bien connnue par le monde. Mais avant toute chose, je voulais son nom. Un nom qualifie une personne unique, ce seul mot revele la moitie du caractere de la personne, notre nom est choisie comme cela. Je suis Etoile du Vent car je suis superieur a moi clan, ces membres, ils me suivent comme une etoile dans le ciel. Vent fait partie de ma rapidite, je suis connu pour etre un bon combatant mais je suis plus ruse quand on est en jeu contre la vitesse. On peut pas me tromper ainsi. Donc, j'aimerai seulement son nom pour me dire deja la moitie de cette chatte. C'est comme sa que je reussie a etre aussi calme, ou ne pas l'etre quand j'entends un nom. Une personne qui s'appelle Mort de Sang ou quelque chose de ce genre, on peut savoir qu'il tient la mort sur ces epaules, il a fait souffrir des gens ou des gens qui lui etait cheres ont souffert. Je demandais alors ma super question a la jeune chatte, d'une voix douce et inconnue de la mienne :

Comment t'appelles-tu ?